jeudi 3 avril 2014

Le web 2.0 et ses réseaux sociaux

Cette semaine, je suis tombée sur un article très intéressant. Cet article s’intitule « A l’école, Twitter parie sur cent ans de pédagogie ». Dans cette publication du 11 mars 2013, on nous parle de l’utilisation de Twitter en classe.
On nous indique que malgré qu’elle soit « insolite en apparence, l’utilisation de ce réseau social dans l’apprentissage du français repose sur un enseignement développé il y a près d’un siècle. »
Je vous explique.
Pour certains, Twitter n’est que la mise à jour de différentes structures d’écriture. La forme d’écriture brève existe depuis des lunes. Nous n’avons qu’à penser au Haïku : le petit poème japonais. Vous n’avez qu’à penser aux différents proverbes que vous connaissez et que vous entendait sur une base plus ou moins régulière. Malgré que ces phrases soient brèves, elles ne sont pas dénuées de sens. C’est du moins ce qu’en pense l’écrivain Jean-Yves Fréchette.

Plusieurs enseignants utilisent déjà Twitter tout autour du globe. Selon eux, ce réseau social permet aux élèves d’écrire des petites phrases, mais surtout leur permet d’être lus et « retweetté ». L’écriture des petites phrases permet aux élèves moins habiles avec l’écriture de se familiariser avec le nouvel outil de communication. Plus ils l’utiliseront, meilleurs ils deviendront et plus motivés ils seront.

Les enseignants qui utilisent déjà Twitter peuvent, à l’aide des mots clés, suivre leurs élèves. Les élèves de la classe peuvent se suivre et se « retweeter » des compositions. Ils ne sont pas les seuls, les classes avoisinantes peuvent aussi les suivre, de même que les élèves de l’école voisine. Ainsi, tous les élèves peuvent voir les productions de chacun et chacun peut republier les travaux de chacun. Lorsque leurs productions sont twittées à nouveau, les élèves ressentent une énorme fierté.

Pour conclure, je ne croyais pas que les réseaux sociaux pouvaient être utilisés en classe. Je suis très conservatrice à ce sujet. Mais aujourd’hui, j’ai découvert qu’il pouvait y avoir une place pour le changement et l’informatisation des procédés. Comme nous l’avons vu, créer des « tweets » n’est pas différent que de construire des poèmes, des haïkus et des proverbes.

Je vous invite à aller lire l’article « A l’école, Twitter parie sur cent ans de pédagogie ». Voici le lien pour vous y rendre :

jeudi 20 mars 2014

L'utilisation du TNI

De plus en plus d’école et de classe se munit de Tableau Numérique Interactif (TNI). Aujourd’hui, je me pose des questions. Mais que peut-on faire avec un TNI? Quels sont les avantages du TNI et quelles sont les limites?

Tout d’abord, le TNI permet aux enseignants de projeter des vidéos, des images, des pages de manuels numérisés, des documents, etc. Lors de présentation de textes, le tableau nous permet de souligner, de barrer, d’annoter. Aussi, le TNI permet aux enseignants de démontrer les différentes étapes pour réaliser une tâche. Voilà quelques actions qui peuvent être réalisées grâce à un tableau numérique interactif.

Les avantages
1. L’utilisation du TNU permet l’interactivité entre les élèves et le professeur. De plus, il suscite l’intérêt et la curiosité des élèves. L’utilisation des TNI augmente la motivation des élèves, mais aussi celle des enseignants.
2. La présence d’un TNI dans la classe permet aux élèves de se familiariser avec l’univers informatique. Grâce au tableau, les élèves peuvent se familiariser avec les différents programmes de traitement de texte et les différents moteurs de rechercher.
3. La grosseur du tableau permet une projection visible pour tous les élèves. Ainsi, la projection permet aux élèves et à l’enseignant de travailler plus facilement sur des productions collectives.
4. À long terme, les gains de temps sont considérables lors de la préparation des cours. Au fil du temps, il est possible de réutiliser et de modifier rapidement les activités et les supports de cours entre les années d’enseignement.
5. Lorsque l’enseignant pose des questionnements ou fait des démonstrations, tout peut être enregistré dans l’ordinateur. Ainsi, l’enseignant peut revenir en arrière ou encore reprendre la leçon où elle s’était terminée.

Les limites
1. Le coût et l’installation des TNI sont très élevés.
2. Afin d’être utilisé efficacement, il faut que l’enseignant investisse temps et persévérance. De cette façon seulement, l’enseignant construira des supports et des activités interactives et adaptées. De plus, il faut que l’enseignant maitrise les nouvelles technologies.
3. Les enseignants doivent malheureusement apprendre par eux-mêmes comme fonctionne le TNI, car les formations sont insuffisantes. Ils doivent apprendre le fonctionnement de l’appareil en tâtonnant et en faisant des essais et des erreurs.

Ayant eu l’occasion de travailler avec le TNI lors d’un stage, je trouve cet outil vraiment intéressant. J’ai dû moi aussi apprendre le fonctionnement de l’appareil, mais heureusement mon enseignante associée m’a enseigné les rudiments de celui-ci.
Courage les amis, cet outil est fantastique lorsqu’on apprend son fonctionnement.


jeudi 27 février 2014

Souris Web

Bonjour à vous!

Aujourd’hui, je veux partager avec vous un site internet vraiment intéressant. Ce site s’appelle Souris Web.

Ce fabuleux site internet propose des exercices en ligne et des jeux éducatifs pour les élèves de tous les niveaux d’apprentissage, du préscolaire jusqu’au secondaire. Vous y trouvez des activités en mathématique, en français, en anglais, de même qu’en sciences. Aussi, ce merveilleux site vous offre aussi des liens pour faire des activités dans différentes matières.

Sur ce site, les activités sont classées selon le niveau des élèves. Lorsque vous cliquer sur une matière, mathématique par exemple, vous accédez à une page où vous pouvez choisir le niveau d’enseignement où les élèves se situent. Lorsque vous cliquez sur le cycle d’enseignement, les différents exercices disponibles sont classés selon les notions à travailler, par exemple la numération, le calcul mental, les multiplications…

Mathématique, 2e cycle


Le site web est vraiment accessible aux élèves. Vous n’avez qu’à dire aux élèves où aller ou encore sur quelle icône cliquer pour accéder aux activités que vous désirez faire avec eux. Vous n’avez qu’à leur dire : « Aujourd’hui, nous irons faire des activités en français. Le français, c’est l’icône de l’enseignante qui fait la lecture à ses élèves. » Les élèves seront capables de naviguer sur le site internet. Vous leur indiquez le cycle d’enseignement où ils se trouvent s’ils ne le savent pas déjà et vous n’avez qu’à leur indiquer quel exercice ils doivent faire. Par exemple, les élèves doivent réaliser les activités du clown ou encore de la pieuvre. Chaque activité comporte plus d'un niveau.


Français, 2e cycle

Ce n’est pas tout!

Ce site vous donne aussi accès à des ressources pour les élèves. Vous trouverez entre autres des pages menant à des activités sur d’autres sites web et des pages qui offrent des outils aux élèves. Les élèves pourront trouver sur ce site un page qui leur permet d’avoir de l’aide pour faire leurs devoirs à la maison et qui leur permet d’avoir accès à des ouvrages de référence.

Lors de mon dernier stage, j’ai beaucoup travaillé sur ce site avec les élèves. Les élèves trouvent que les activités sont très amusantes. Ils aiment « jouer » sur le site de la souris web!

Voici le lien pour aller sur cette petite merveille: 

jeudi 6 février 2014

Les vidéos d'enseignement et l'éducation


                Wow! Je viens juste de tomber sur une vidéo géniale. Cette vidéo présente l’Académie Khan [1], un site internet qui permet à tous et à chacun d’apprendre et de revoir des notions qui seront vues ou qui ont déjà été vues en salle de classe. La mission de l’Académie Khan est d’ouvrir le système éducatif à toutes les classes mondiales de manière gratuite. Toutes vidéos d’instructions, tous les exercices sont gratuits et disponibles n’importe où et pour n’importe qui [2]. Les vidéos de l’Académie Khan comportent plusieurs avantages que j’aimerais partager avec vous aujourd’hui.

Tout d’abord, tout le monde a accès aux nombreuses vidéos. Le site comporte des vidéos de français, de mathématique, de science, de finances et bien plus. Chaque vidéo présente une notion différente qui s’enchaine les unes après les autres. Puisque les notions sont sur vidéo, les personnes qui les désirent peuvent appuyer sur pause et faire rejouer un passage qu’ils ont plus ou moins bien compris. Les élèves qui ont des retards n’ont donc pas à être gênés, puisqu’ils peuvent consulter les vidéos autant de fois qu’ils le désirent.

Aussi, une nouvelle manière de faire la classe peut s’installer à l’aide des vidéos d’enseignement de l’Académie Khan. Comme le créateur le mentionne dans la vidéo de présentation de son académie, quelques enseignants de Los Altos en Californie ont radicalement changé la face de leur classe. Désormais, les élèves ont comme devoir de regarder les vidéos d’enseignement sur le site et doivent faire en classe les devoirs qui seraient normalement faits à la maison. Cette nouvelle approche, comme M. Khan le dit dans la vidéo, rend la classe plus humaniste. L’enseignant prend plus de temps à aider les élèves, car les visionnements et les enseignements ont été faits à la maison.



Finalement, je trouve que ces vidéos sont fantastiques, car elles permettent à toutes personnes qui en sentent le besoin de revoir certaines notions. Elles peuvent être utilisées par des élèves qui font l’école à la maison et des personnes qui sont inscrites dans le programme de formation des adultes ou encore des personnes qui souhaitent se rafraichir la mémoire. Comme les vidéos sont intemporelles, elles pourront aussi être utilisées par les élèves de demain.



Je vous conseille fortement de regarder la vidéo de présentation de l’Académie Khan, car ce fut une très grande découverte pour moi. J’ai bien hâte d’utiliser cet outil surprenant. :)






mercredi 29 janvier 2014

Mon principal objectif d’apprentissage et mon plus grand défi

Aujourd’hui, je porte ma réflexion sur l’utilisation des tics en contexte d'orthopédagogie. Comme la plupart des jeunes adultes et des adultes de mon époque, l’utilisation des tics est très présente dans ma vie. Lorsque je dois communiquer avec un camarade de classe ou un collègue de travail, j’utilise l’ordinateur pour leur envoyer un courriel. Dans ma future profession, mon principal défi est d’intégrer les tics au quotidien.

Lorsque je naviguais sur le web, je suis tombé sur un article du Réseau d’information pour la réussite éducative (RIRE) qui présentait une étude sur les orthopédagogues et leur niveau d’intégration des tics. Dans cet article, on pouvait constater « [qu’] un peu plus du quart des orthopédagogues sondés affirment utiliser fréquemment les TIC dans un but de différenciation pédagogique. Très peu de projets de coopération avec les pairs, de collaboration ou de partage d’expertise sont réalisés à l’aide des TIC. »[1]

Dans un contexte scolaire, les réalités sont différentes. Souvent, le matériel disponible est désuet, les logiciels dont les élèves ont besoin ne sont pas toujours disponibles et le nombre d’ordinateurs est insuffisant2. Certains milieux éprouvent de la difficulté à d’exploiter les tics et les aides technologiques ce qui empêche les élèves de continuer à se développer et à réussir dans le cadre scolaire.[2]

Pour moi, l’utilisation des tics est relativement facile. Même lorsque je ne connais pas un logiciel, je l’explore et cela m’amuse. Quand vient le temps d’intégrer les tics avec les élèves en difficulté, je ne sais plus comment m’y prendre. Je sais que certains logiciels sont disponibles pour que les élèves réussissent davantage. Mon objectif pour réussir à intégrer les tics dans ma pratique est de créer des projets en lien avec les tics dans les classes où j’irai faire des animations. Ainsi, les élèves seront mis en contact avec les tics et ils apprendront à les manipuler comme je l’ai appris. Dans un contexte de petit groupe de travail, je crois que je pourrai permettre aux élèves d’utiliser mon ordinateur pour aller sur des sites interactifs et manipuler les programmes d’aide s’ils n’ont pas déjà recourt à des ordinateurs portables.


lundi 20 janvier 2014

J’aimerais savoir


Suite à ce que j'ai vécu lors de mes précédents stages, j'aimerai savoir quels sont les programmes les plus adaptés selon les différentes difficultés des élèves. Aussi, j'aimerai savoir comment ces programmes fonctionnent et en quoi ils permettent aux élèves de progresser.

Je me demande...



J'ai déjà travailler avec le logiciel Smart Notebook et le TNI (tableau numérique interactif), mais je me demande comment créer des activités motivantes pour les élèves avec d'autres logiciels. En d'autres mots, je me demande quels sont les autres logiciels intéressants pour intégrer les tics dans les classes.

Aussi, il n'est pas toujours évident de louer le local d'ordinateur de l'école. Je me demande comment est-il possible d'intégrer les Tics dans les classes quotidiennement. Quels sont les autres tics qui seraient intéressants d'utiliser en situation de classe?